Les étapes pour l'achat d'une maison

Important, ce n'est pas parce qu'on est curieux qu'il faut négliger la première étape : il faut que tu sois qualifié. Il faut que je sache, tu sais, quel est ton budget. Pourquoi ? Si je sais à combien tu es qualifié, alors je vais pouvoir orienter mes recherches en fonction de ton pouvoir d'achat, tu sais.

C'est comme si tu voulais aller t'acheter une robe, tu as un budget de 200, mais tu magasines des robes à 700, eh bien, on perd ton temps. Au-delà, tu vas rêver. Une fois que tu as vu une robe à 6 700, c'est dur d'en trouver une à 150 qui te convienne. Je fais un parallèle. À partir du moment où j'ai une préqualification, je vais pouvoir te faire des scénarios. Cela veut dire, simplement, dire « Ah, j'ai une hypothèque, la banque, elle me prête jusqu'à 400 000, eh bien, ça coûte combien ? » 400 000 d'hypothèque, dépendamment de la mise de fonds.

Il faut que je connaisse ton taux aussi. Si j'ai ton taux, j'ai ta mise de fonds, et on s'apprête à acheter une maison de 400 000, alors je vais pouvoir prendre ma petite calculatrice et te dire « Hey, c'est bas, la maison, celle-là, elle coûterait 2 200 $, mais on doit ajouter là-dessus tes taxes municipales et scolaires, les assurances, je vais pouvoir te faire un budget. »

Dernier point crucial dans l'achat d'une maison

Le dernier point, eh bien, il est très important : c'est quand je vais m'asseoir à une table pour convaincre un vendeur que c'est toi l'acheteur pour sa maison. Même si je dis que tu es fin, beau, gentil, ce qui l'intéresse, c'est de savoir si tu obtiens un prêt à la banque. Quand j'ai une petite lettre dans les mains, dès le départ, je commence ma négociation de manière beaucoup plus sérieuse.

En fait, le vendeur, les oreilles s'étirent, il m'écoute quand je lui dis « Monsieur, il n'y a pas de problème avec mon acheteur, il est qualifié, et en plus, Monsieur, il est qualifié avec quelqu'un que je connais. »